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Item. Est fait dépense aussi annuellement de la somme de vingt-quatre livres ou environ tant pour les peines de radministrateur de ladite Trinité, crieur, porte-verge que autres menus frais le jour que ladite confrérie est annoncée par la ville de Paris.
Item. Est aussi payé audit crieur, pour ses droits, la somme de quatre livres dix sols tournois.
Item. U se fait offrande èsdits jours Sainte-Croix et Quasimodo, pour faire lacpielle est distribué aux confrères présents vingt-cinq à trente sols tournois par lesdits doyen et maitres.
Item. Est payé au tapissier trente-six livres tournois pour les ta-
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v . pisseries et tentures qu'il fournit par chacun an pour la décoration _          de ladite chapelle et audit hôtel pour la réception de messieurs les
^cr>0iÀ<f lieutenant civil et procureur du Roi, et autres ci-dessus nommés, comme aussi pour la tenture qui sert devant ledit hôtel de Bour­gogne èsdits jours de Fête-Dieu.
Item. Est payé à ceux qui portent les flambeaux devant le saint sacrement ès jours de Fête-Dieu, aux processions qui se font aux­dites églises de Saint-Sauveur et de la Trinité, auxquelles de cou­tume lesdits maitres fournissent des flambeaux de cire blanche-douze à quinze sols tournois.
Item. Pour l'entretien des ornements de ladite confrérie il se fait dépense annuellement du moins de la somme de dix à douze livres et quelquefois plus.
Charités.
Lesdits doyen et maitres ont de coutume annuellement, le jour et fête des Trépassés, de visiter les pauvres prisonniers, tant du grand que petit Châtelet, Conciergerie du Palais, For-1'Évêque que autres prisons de cette ville de Paris, et à chacun d'iceux donner un pain d'un sol, et à aucuns et selon leur grande nécessité deux, et aussi quelques douzains, de sorte qu'il s'employe et distribue auxdites charités quelquefois jusques a vingt-cinq et trente livres tournois, selon la quantité des pauvres prisonniers.
Item. Quand il arrive que quelques-uns des anciens maîtres ou confrères Tiennent en nécessité et n'ont moyen rie gagner leur vie, lesdits doyen et maitres, après le consentement et avis de ladite confrérie, assistent iceux pauvres confrères selon le possible et fonds de ladite confrérie, ainsi que pour preuve de ce il se pratique en­vers un pauvre «ancien maltre et confrère fort caduc, auquel pour ce est payé vingt sols j>ar chacune semaine, annuellement.
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p J€ f          Et outre tout ce que dessus est encore dû au couvreur dudit hôtel
ta trois ou quatre cents livres, : comme aussi au tapissier deux ou trois
aiinées de ses gages. •* 7;> Cu. /of (-1 Ttera. ÀjnessiettTO te. la Traité deux aimées.de k-souffcance seu­lement.